Ce commentaire discute l’introduction dans la CIM-11 de ce “nouveau” diagnostic. Les données scientifiques actuellement disponibles ne permettaient pas, selon le groupe de travail concerné. de classer ce trouble dans le chapitre des addictions, ce qui pourrait cependant être le cas dans une version ultérieure de la CIM. Par un soucis de ne pas sur-pathologiser les comportements sexuels, les auteurs discutent surtout toutes les situations dans lesquelles le diagnostic ne devrait pas être posé.