Dans une étude allemande portant sur 5667 adolescents, le chat et les activités sur les réseaux sociaux étaient des prédicteurs d’un usage addictif d’Internet chez les filles, tandis que les jeux en ligne l’étaient chez les garçons, ce qui avait déjà été décrit précédemment.
Un résultat plus surprenant était, qu’en comparaison avec les joueurs addicts, les usagers addicts non-spécifiques d’Internet (generalized Internet users) présentaient un fardeau psychosocial plus élevé.