Dans cette étude les auteurs sont parti du constat que des modes de consommations divergents dans les couples (un partenaire boit, l’autre non) sont associées à des taux accrus de séparation et de divorce.
On a permis dans cette étude à des campagnols des prairies mâles et femelles de former un lien de couple pendant une semaine. Après cette période de cohabitation d’une semaine, les males ont eu accès à de l’éthanol continu à 10%; Pendant ce temps, leurs partenaires femelles avaient accès à l’alcool et à l’eau ou simplement à l’eau. Lorsqu’il y avait une différence dans la consommation d’alcool, la stabilité du couple était diminué de manière significative.
Walcott AT & Ryabinin AE. Alcohol’s Effects on Pair-Bond Maintenance in Male Prairie Voles. Front. Psychiatry 8:226. doi: 10.3389/fpsyt.2017.00226